jeudi 14 mai 2009
LCN Matin sur Facebook
Je souhaite la bienvenue à l'équipe du matin à LCN sur Facebook (Karine Champagne, Jean-François Guérin, Brigitte Bédard et autres collègues sympathiques)!
LCN Matin a ouvert un profil ce matin sur le populaire réseau social virtuel, créant ainsi un autre lien plus humain avec son auditoire, duquel je fais fièrement partie.
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Les APECOS: associations «privé/économie sociale», entreprises du gros bon sens
Dans l'acronyme APECOS, on peut aussi apercevoir «eco»... Cette invention waskane est notre proposition de solution à bien des problèmes. C'est une avenue faisable, facilement applicable et gérable aisément.
Les organismes publics perdent de leur efficacité avec la fluctuation de l'économie, la hausse des frais d'opération et la capacité de payer des contribuables. Le secteur privé, lui, est contraint à se soumettre à la loi de la jungle commerciale s'il veut survivre. Il doit être agressif sur le plan marketing et rentabiliser ses opérations. Le hic est qu'il est difficile de contrôler les abus commercialistes et les dérapages du milieu du profit.
La solution est d'associer le savoir-faire et l'énergie du privé et l'indépendance d'esprit d'une entreprise d'économie sociale. Tous deux ont la particularité d'être rentables et ce n'est pas négligeable en cette période de disette.
Par exemple, la police ne peut interpeller tous les contrevenants qui existent parce qu'il en coûterait tout simplement une saprée beurrée. Le système public est un dinosaure qui n'est absolument pas rentable. Or, une compagnie de sécurité dûment formée pourrait se permettre d'avoir des yeux partout - et croyez-moi qu'elle en aurait l'intérêt! - en se payant avec les contraventions. J'entends déjà des gens se plaindre mais on reconnaît ici la voix de celles et ceux qui aiment contrevenir impunément. Je respecte mes arrêts et mes feux rouges; je ne me sens donc pas menacé par une telle mesure. Les abus potentiels seraient prévenus par un système indépendant à buts non lucratifs, assurant les enquêtes et l'éthique. La fougue active de l'un, combinée au flegme de l'autre. De plus, un parfait exemple d'autonomie/responsabilité. Parfait!
Une entente fusionnerait les deux entités, bien réglementée et légalement liée. La police s'occupera d'en assurer la droiture (clin d'oeil sympathique).
Les PPP sont des descendants des dinosaures. Ils mélangent l'incontrôlable appétit du privé et la non-rentabilité du public. Merveilleuse bouette.
En 1982, les gens riaient de la manière de fonctionner de Waska. Aujourd'hui, c'est connu comme étant l'économie sociale, alliant l'humanisme à la rentabilité.
À quand les hôpitaux APECOS?
Les organismes publics perdent de leur efficacité avec la fluctuation de l'économie, la hausse des frais d'opération et la capacité de payer des contribuables. Le secteur privé, lui, est contraint à se soumettre à la loi de la jungle commerciale s'il veut survivre. Il doit être agressif sur le plan marketing et rentabiliser ses opérations. Le hic est qu'il est difficile de contrôler les abus commercialistes et les dérapages du milieu du profit.
La solution est d'associer le savoir-faire et l'énergie du privé et l'indépendance d'esprit d'une entreprise d'économie sociale. Tous deux ont la particularité d'être rentables et ce n'est pas négligeable en cette période de disette.
Par exemple, la police ne peut interpeller tous les contrevenants qui existent parce qu'il en coûterait tout simplement une saprée beurrée. Le système public est un dinosaure qui n'est absolument pas rentable. Or, une compagnie de sécurité dûment formée pourrait se permettre d'avoir des yeux partout - et croyez-moi qu'elle en aurait l'intérêt! - en se payant avec les contraventions. J'entends déjà des gens se plaindre mais on reconnaît ici la voix de celles et ceux qui aiment contrevenir impunément. Je respecte mes arrêts et mes feux rouges; je ne me sens donc pas menacé par une telle mesure. Les abus potentiels seraient prévenus par un système indépendant à buts non lucratifs, assurant les enquêtes et l'éthique. La fougue active de l'un, combinée au flegme de l'autre. De plus, un parfait exemple d'autonomie/responsabilité. Parfait!
Une entente fusionnerait les deux entités, bien réglementée et légalement liée. La police s'occupera d'en assurer la droiture (clin d'oeil sympathique).
Les PPP sont des descendants des dinosaures. Ils mélangent l'incontrôlable appétit du privé et la non-rentabilité du public. Merveilleuse bouette.
En 1982, les gens riaient de la manière de fonctionner de Waska. Aujourd'hui, c'est connu comme étant l'économie sociale, alliant l'humanisme à la rentabilité.
À quand les hôpitaux APECOS?
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mardi 12 mai 2009
Dernière rencontre SWAFF de la saison, le 14 mai
Hôte : | |
Genre : | |
Réseau : | Global |
Date : | 14 mai 2009 |
Heure : | 17 h 30 - 20 h 30 |
Lieu : | Mo Taverne Urbaine |
Adresse : | 810, boulevard Charest Est |
Ville : | Québec, QC |
Téléphone : | 418-575-5424 |
Courriel : |
C'est déjà la dernière SWAFF de la saison avant les vacances d'été (déjà!). De retour en septembre prochain par la suite.
SWAFF c'est quoi?
Les Soirées Web & Affaires à Québec, c'est l'occasion de parler Web et affaires lors d’un 5 à 7 dans une ambiance informelle avec des passionnés et curieux. C'est gratuit, vous ne payez que vos consommations.
SWAFF c'est pour qui?
Ça s’adresse à quiconque s’intéresse de près ou de loin aux affaires électroniques, c’est-à-dire à faire des affaires avec Internet. Du néophyte a l’expert, employé, directeur des TI ou des comm, pigiste, consultant, entrepreneur, etc. Tout le monde est le bienvenue quoi!
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vendredi 8 mai 2009
Il y a de l'emploi, il y a peu de gens compétents pour le combler
On peut observer au centre commercial «Carrefour Les Saules» à Québec une énorme affiche criant «nous embauchons». En effet, la compagnie Nordia offre des emplois variés tels que téléphoniste de relais pour les sourds et/ou malentendants (711), agent-e à l'assistance annuaire (411), agent-e de téléconférence, agent-e de soutien pour logiciels d'impôts et service à la clientèle pour un fournisseur de télévision satellite. La manne! Des postes en quantité pour rendre bien des gens heureux. Des conditions de travail agréables, des avantages sociaux et une adaptabilité avec les études...
Toutefois, les candidates et candidats qui s'y présentent doivent répondre aux exigences les plus primordiales: être compétent! Connaître le bon usage du français et, pour certains postes, l'anglais, est la compétence de base la plus difficile à satisfaire dans l'emploi au Québec.
Tout d'abord, le Québécois moyen maîtrise mal sa propre langue. Dans un travail où le langage professionnel est de mise, force est de constater la pauvreté de la qualité du français. Certains postes requièrent de taper des messages et, tout au moins, de le faire sans faute. Les écoles du Québec ne sont pas mêmes foutues d'honorer leur mandat de produire des élèves capables d'écrire correctement. À vingt ans, la majorité n'accorde même pas ses participes passés et s'en moque éperdument. «C'est pas grave», entend-t-on, «les gens comprennent pareil». Les adultes n'accordent aucune importance à bien faire les choses et osent exiger que leurs enfants produisent des résultats et obéissent! Fais ce que je dis mais pas ce que je fais semble être leur règle. Bel exemple pour le futur de notre société québécoise. Et ça chiale quand un peu d'anglais se montre le bout du nez! Ce n'est pas l'anglais qui menace la culture du Québec mais le Québécois je-m'en-foutiste lui-même.
Si vous êtes un personne pour qui, au contraire du Québécouais ci-dessus, la qualité de votre travail compte et que vous maîtrisez bien votre langue, de superbes emplois stables vous attendent à Nordia. Allez sur le site www.nordia.ca et soumettez votre candidature en ligne. Si vous êtes parfaits bilingue, vous avez encore plus de choix!
Je rédige cet article par choix personnel, pour encourager ma communauté à se trouver un emploi stable et confortable. Ce n'est pas une annonce.
Toutefois, les candidates et candidats qui s'y présentent doivent répondre aux exigences les plus primordiales: être compétent! Connaître le bon usage du français et, pour certains postes, l'anglais, est la compétence de base la plus difficile à satisfaire dans l'emploi au Québec.
Tout d'abord, le Québécois moyen maîtrise mal sa propre langue. Dans un travail où le langage professionnel est de mise, force est de constater la pauvreté de la qualité du français. Certains postes requièrent de taper des messages et, tout au moins, de le faire sans faute. Les écoles du Québec ne sont pas mêmes foutues d'honorer leur mandat de produire des élèves capables d'écrire correctement. À vingt ans, la majorité n'accorde même pas ses participes passés et s'en moque éperdument. «C'est pas grave», entend-t-on, «les gens comprennent pareil». Les adultes n'accordent aucune importance à bien faire les choses et osent exiger que leurs enfants produisent des résultats et obéissent! Fais ce que je dis mais pas ce que je fais semble être leur règle. Bel exemple pour le futur de notre société québécoise. Et ça chiale quand un peu d'anglais se montre le bout du nez! Ce n'est pas l'anglais qui menace la culture du Québec mais le Québécois je-m'en-foutiste lui-même.
Si vous êtes un personne pour qui, au contraire du Québécouais ci-dessus, la qualité de votre travail compte et que vous maîtrisez bien votre langue, de superbes emplois stables vous attendent à Nordia. Allez sur le site www.nordia.ca et soumettez votre candidature en ligne. Si vous êtes parfaits bilingue, vous avez encore plus de choix!
Je rédige cet article par choix personnel, pour encourager ma communauté à se trouver un emploi stable et confortable. Ce n'est pas une annonce.
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