Les OSBL... Obtiennent-ils la pleine valeur du réseautage sur Internet?

Trouver des sources de financement pour un organisme sans but lucratif ou augmentant le membership d'une association reste le plus grand défi parmi même les plus dévoués des directeurs exécutifs et des professionnels en communications, marketing et de la collecte de fonds.

C'est une bataille constante pour chercher des subventions gouvernementales, du secteur privé, le financement par les donateurs et l'ensemble de tous les soutiens financiers qui existent pour les OSBL. Alors, voilà où l'efficacité du marketing en ligne entre en jeu! Même à son plus simple niveau, à la base, le marketing par Internet ajoute une variété de méthodes et de supports nécessaires pour élargir votre clientèle et votre soutien de base à un rythme exponentiel. Voici les plus faciles stratégies pour gagner plus facilement et à faible coût le coeur de l'opinion publique, le support ainsi que la reconnaissance pour votre organisme à buts non lucratifs:

Optimisez votre site Web: Espérant que vous avez déjà un site Web, il est absolument essentiel que vous gardiez un oeil sur le développment de votre site en le mettant à jour régulièrement. Je recommende aussi que vous recueilliez les commentaires des utilisateurs sur la maniabilité, la façon dont ils classent ou utilisent certains mots-clés génériques pour rechercher les causes telles que la vôtre (spécialement les bailleurs de fonds potentiels et/ou partisans) ou les organismes qui offrent les mêmes services. Cela ne signifie pas que vous ayez besoin d'investir des milliers de dollars dans un effort d'optimisation de votre site mais l'aide d'un spécialiste en relations publiques sur Internet peut vous offrir certains outils et des stratégies pour mettre votre site en face de ceux qui ont besoin de le voir. Ceci est important pour deux raisons. Premièrement, les organismes sans but lucratif n'ont pas des milliers de dollars à investir dans la publicité en général; deuxièmement, vous avez une grande chance que votre concurrence (tous les organismes à buts non lucratifs sont en concurrence car vous cherchez tous les mêmes dons!) et n'a pas les moyens elle non plus.

Blogues: Une fois que vous avez un très bon site, il est temps de créer votre propre blogue. Pour le débutant en Internet, cela peut sembler comme une tâche intimidante, mais elle est beaucoup plus facile que vous ne l'imaginez. Faîtes un recherche sur Internet du mot-clé «blog» et vous y trouverez des milliers de possibilités de départ pour avoir votre propre blogue gratuit et les sites du réseautage dans lequel ils vous guident à travers l'ensemble du processus de création de votre blogue, ce qui le rend attrayant avec l'un de leurs modèles, ainsi que de le mettre à jour avec du contenu sur une base régulière. Cependant, ce que j'aime d'un blogue est qu'il s'agit d'un moyen de communiquer la mission de votre organisme et ses objectifs à travers une communication régulière, tout en informant vos donateurs/militants potentiels de la façon dont ils peuvent vous aider.

Articles et communiqués de presse: Il en va de même pour la soumission des articles et des communiqués de presse aux sites web. Faîtes une recherche sur Internet de l'une des conditions précédentes et vous y trouverez des milliers de sites gratuits (ou à bas prix) consacrés à l'affichage des articles et des communiqués de presse. Pour les articles, je vous recommande de présenter un court texte sur l'industrie ou la cause qui vous préoccupe, offrant des conseils et des programmes tout en fournissant un lien vers votre site Web. Pour les communiqués de presse, écrivez un texte sur les nouvelles récentes de votre organisme, un nouvel aspect de votre site ou une initiative de programme et fournissez ensuite un lien vers votre site. Quoiqu'il en soit, si vous suivez ces conseils, vous ajouterez de nouvelles informations à un réseau sur Internet qui vous fournira un trafic important et gratuit.

Bulletins électroniques et marketing par courriel: Tout en veillant à ce que vous évitiez d'envoyer des pourriels (spam) à vos bailleurs de fonds et à vos partisans - sachant que l'élaboration d'un bulletin électronique simple pour garder vos partisans au courant de ce que vous faîtes vous permettra d'augmenter énormément votre rendement en relations publiques. Qu'il y ait un programme ou un événement simple auquel vous voulez les inviter ou si vous désirez les remercier de leur soutien, vous avez maintenant une connexion avec eux personnellement, dans leur vie occupée.

En tout, il y a de nombreux aspects et une pléthore de possibilités qu'une organisation peut entreprendre en termes de sensibilisation du Web 2.0. La valeur est alors bien en développant un stratégie qui définit les méthodes de communication en ligne qui fonctionnent le mieux pour votre OSBL.

Avez-vous d'autres moyens de marketing en ligne ou de relations publiques qui ont fait leurs preuves pour votre OSBL? Ou, possiblement, avez-vous des méthodes qui n'ont pas bien fonctionné? Partagez-les avec nous!

Mark Buzan
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Mark Buzan est le consultant principal et la « Loupe chef» pour Stratégies Action, un service complet de communications stratégiques, relations publiques et de consultation en affaires publiques pour les associations et les organismes sans but lucratif. Assurez-vous de prendre contact avec lui pour obtenir des conseils sur vos chances de rejoindre le public que vous pouvez ou que vous n'avez pas avoir encore pris en considération dans vos communications. Contactez-le, si vous cherchez de l'aide dans l'élaboration d'une campagne de relations publiques. Vous pouvez consulter son site Web à www.strategiesaction.ca

Heidi Couet, artiste de Québec

Je vous présente la talentueuse Heidi Couet! Ses dessins vous transpercent d'un message, de toute une histoire empreinte de sentiments souvent troublants. La jeune artiste de 22 ans vient tout juste de publier son blogue sur lequel il est possible d'admirer ses oeuvres. Pour ma part, je la suis sur Twitter pour ne pas manquer ses coups de crayon qui vont droit au coeur.

heidicouet.blogspot.com

Le JdeQ est condamné à redevenir MédiaMatinQuébec

En toute humilité, je vous admets ne pas être un spécialiste dans le domaine. Toutefois, mon sixième sens de blogueux me fait pressentir que les médias traditionnels vont déménager. Constatez vous-mêmes la répétition : d'abord, à Québec, les employés du Journal de Québec en conflit se liguent «indépendamment» pour fonder le MédiaMatinQuébec (qui s'avère viable, finalement!) et ceux du Journal de Montréal qui se retrouvent dans la rue... Frontenac. Je vous le dis, ils vont tous finir blogueurs.

Ils pourraient bloguer en ligne avec complément papier... Le MédiaMatinQuébec a prouvé sa rentabilité et sa popularité. De petit format, son médium papier rejoignait la population gratuitement et très efficacement. Le syndicat a aidé, certes... N'empêche que l'organisation fonctionne!

Le nombre de lecteurs qui convertissent au numérique leurs habitudes de consulter les sources d'information (actualités, faits divers, suivi des collègues et autres contacts) est grandissant et ne peut que condamner les médias traditionnels à se numériser presque entièrement. L'entêtement des grands de l'information à vouloir sauver les meubles ne fait que retarder l'inévitable. Je ne pense pas que ce soit du déni. Il s'agit pour eux, toujours selon moi, de jongler avec les oranges dont ils disposent présentement; les employés spécialisés, l'équipement coûteux, les immobilisations, les commanditaires dont la clientèle est soigneusement ciblée, les investisseurs et la liste est encore longue. Voyons ça comme un train lancé à 200 km/h qui se rend compte que les rails prennent brutalement fin au bout de 2 km.

Les conflits de ces deux dernières années chez nos collègues de Quebecor devraient sonner une cloche, tout au moins nous présenter un feu jaune. De notre côté, on ne peut qu'attendre la débâcle et accueillir dans notre généreuse blogosphère ces malheureux artisans du journal. Le mot «journal» figurera dans quelque nostalgique titre de blogue, en souvenir de cet ancêtre de papier qui prit place à la table du déjeuner.

Tout n'est pas fini! Les clips de nouvelles ne sont pas morts. Ils s'intègrent très bien dans un billet de blogue et sont parfaitement «visionnables» sur les différents appareils portatifs pouvant afficher Internet.

En attendant le retour d'un MédiaMatinQuébec bimédia, il y aura toujours Communauté Québec. ;)

Jean-François Patrice Néron

Mon cadeau aux fumeurs

Pour me faire pardonner de toutes les misères que j'ai fait subir aux fumeurs, je leur en offre une. Mes excuses encore. ;)

L'intimidation, ça ne passe pas avec moi - Tit'homme et Dominic Arpin

Sur le blogue de mon talentueux compatriote de la blogosphère, «Le patrouilleur du net», vous y trouverez un article qui vient chercher le coeur d'un parent. Tit'homme, le fils de Dominic Arpin, jase de l'intimidation devant un peu plus de journalistes qu'il s'attendait de rencontrer... Il a gagné un concours de slogan avec «L'intimidation, ça ne passe pas avec moi». Ç'a du punch! Allez lire l'article et laissez un mot à Dominic.

NOUVELLE VERSION : Ce qui sort de notre robinet à chaque matin quand on se brosse les dents, ça coute combien ?

L’eau a fait une entrée remarquée sur la scène politique au cours des dernière années, mais n'a pas été, selon moi, traité de façon adéquate. Cette ressource, si essentiel à la vie, devient un enjeux commercial de haut niveau. Nous faisons face à un manque exubérant d’eau dans plusieurs pays de la planète pendent que certain s'acharnent seulement sur leur porte-feuille personnel. Est-ce que ce qui sort de notre robinet chaque matin à une valeur monétaire? Nous allons éclairer la situation dans les prochains paragraphes.

Premièrement, l'eau appartient à qui réellement? Selon le code civil du Québec: “l’État est propriétaire du lit des lacs et des cours d’eau navigables et flottables jusqu’à la ligne des hautes eaux.” Nuance; le lit des eaux, c'est pas l'eau. L’eau, c’est comme l’air, jusqu’à preuve du contraire, les deux "appartiennent" à tout le monde. Sauf que au lieu de la vendre, on la donne! Comme le dit si bien Louise Vandelac, membre de la coalition Eau-Secours!; “C’est quand même assez incroyable qu’on donne littéralement notre eau et qu’on la rachète pour près de 200 millions de dollars par année pour la boire dans des petites bouteilles en plastiques.” Je crois qu'il y aurait un meilleur moyen pour rendre l'eau rentable, juste et équitable. Premièrement, arrêter de vendre notre eau à des entreprises étrangères, se concentrer sur le Québec. Alors, où je veux en venir, nous devrions autoriser la vente de l'eau au Québec que par une seule entreprise québécoise et gouvernementale, d'une tel façon que, tous les profits iront dans les poches de tous les québécois et québécoise!

Même si elle est recouverte au ¾ d’eau, la terre, n’en a pas à gaspiller: à peine 2.5% de cette eau est potable. Potable peut-être, mais pas nécessairement facile d’accès: 75% est glacée, emprisonnée à l’un ou l’autre des pôles. En bout de ligne, seulement 0.007% de l’eau sur terre est potable et aisément accessible” nous rappelle le Courrier de l’Unesco dans son édition de février 1999. Ma deuxième solution, limiter l'eau gratuite. Pourquoi les gens arrosent encore leur gazon d'une façon abusive, pourquoi les gens arrosent encore leur asphalte pour aucune raison valable, pourquoi les gens s'entêtent-ils encore à laver leur voiture avec un boyau d'arrosage au lieu d'un seaux et d'une guenilles ? Pour la simple et bonne raison que pour eux l'eau n'a aucune signification, pour eux, l'eau n'a aucune limite, elle est Gratuite! Selon le conseil mondial de l’eau, un Nord-Américain consomme en moyenne environ 500 000 litres d’eau par an, dont plus de la moitié est gaspillée en pure perte. En fait, un être humain n’a vraiment besoin que de 10 000 litres d’eau par an pour vivre. Jusqu'à quel point pouvons nous gaspillé ? La solution que je propose est la suivante; nous devrions instaurer un système qui autoriserait un minimum d'eau gratuite par maison, de la même manière qu'Hydro-Québec nous pourrions avoir un conteur d'eau dans la maison pour savoir à combien de litre nous sommes rendus et si on dépasse, on paye! Ce n'est pas plus compliqué que ça. En plus, nous pourrions redonner l'argent fait aux municipalités qui pourraient améliorer leur système d'aqueduc. Normalement, si nous prenons ces mesures, nous devrions voir une baisse monstrueuse de gaspillage d'eau en arrosage de terrain...

Est-ce que je vous en ai assez dit? Pour moi c'est déjà assez de preuves comme ça pour ne pas vendre l'eau. En prime, je vous donne des solutions, j'attends vos commentaires avec impatience!

Débuter avec l'ordinateur: apprendre rapidement et facilement

LA SESSION DÉBUTE AU MOIS DE MAI 2009
INSCRIVEZ-VOUS DÈS MAINTENANT

Vous n'avez jamais touché un ordinateur et vous en avez peur? Vous avez un ordinateur mais n'êtes pas confortable avec cette bête mystérieuse? Waska existe pour vous.

Vous entrez dans le local de Waska et vous y trouvez un décor chaleureux et détendu, éclairé par des lampes de salon. On a condamné les fluorescents qui donnent une atmosphère d'école. On vous accueille avec une poignée de main. Le café et les muffins embaument la place. Vous prenez place à côté de gens comme vous qui veulent apprendre à devenir confortables et à maîtriser l'ordinateur, l'appareil photo numérique, le lecteur de musique, le scanner et bien d'autres délices technologiques qui favorisent les communications entre humains aujourd'hui. Un animateur souriant et jovial transmet la connaissance dans ce qui a davantage l'air d'un show d'humour que d'une classe. Et c'est bien! Pas de devoirs, pas de notes, pas d'examen. Vous y apprenez en touchant, en essayant, en comprenant. Pas de mal de tête. Vous progressez à une vitesse qui vous surprend et vous vous rendez compte que vous êtes bon/ne!

À Waska, on vous met des morceaux d'ordinateur dans les mains pour en comprendre le fonctionnement. Vous essayez, vous expérimentez, vous touchez. Vous constatez le progrès de manière pragmatique, dans le concret de la réalité. Vous êtes accompagné/e d'un vrai professionnel expérimenté (20 ans!) et diplômé du domaine. C'est du sérieux et ça paraît. Vous sortez de Waska avec un apprentissage applicable et durable.

Après chaque atelier, vous retournez à la maison (ou au bureau dans certains cas) avec la fougue de mettre en pratique ce que vous avez appris. C'est tellement agréable de ressentir le pouvoir de l'autonomie quand on prend le clavier et qu'on se sent fier d'être capable. C'est l'empowerment, l'autonomie: raison d'être de Waska.

Pour bénéficier de l'atelier d'apprentissage de l'ordinateur, il faut être membre de Waska. Vous venez nous voir les lundis et mercredis, de 16 h à 20 h, et vous remplissez un formulaire. La cotisation annuelle est de 10 $ pour un individu et 20 $ pour un organisme. Puis, une contribution est demandée pour suivre la session:

• session de 10 rencontres hebdomadaires d'une heure et demie, en ateliers privés (vous et l'animateur seulement) : 200 $.
• session de 10 rencontres hebdomadaires d'une heure et demie, en ateliers de groupe (maximum quatre membres à la fois) : 100 $.
• une seule rencontre d'une heure et demie, en ateliers privés : 22 $.
• une seule rencontre d'une heure et demie, en ateliers de groupe : 12 $.

Les fonds amassés servent à la cause de l'autonomie de l'individu et de l'organisme à Québec, à travers les ateliers de Waska, autonomie et services techniques communautaires.

Cause «Individus et organismes autonomes» sur Facebook
Devenez FAN de Waska sur Facebook
Joignez-vous au groupe «Waska, 1982 à aujourd'hui/today»

Pour participer aux ateliers, il faut être membre de Waska; c'est seulement 10 $ pour les individus, 20 $ pour les organismes.

Changements à Waska

L'organisme «Waska, autonomie et services techniques communautaires» procède à plusieurs changements, notamment à ses heures d'ouverture, ses activités et ses tarifs.

• LUNDI LE 9 FÉVRIER : FERMÉ (EXCEPTIONNELLEMENT) POUR RESTRUCTURATION.
• MERCREDI LE 11 FÉVRIER : OUVERT DE 16 H À 20 H.
• JEUDI LE 12 FÉVRIER : FERMÉ (EXCEPTIONNELLEMENT) POUR RESTRUCTURATION.

Nouvelles heures d'ouverture

• LUNDI LE 16 FÉVRIER : 16 H À 20 H
• MERCREDI LE 18 FÉVRIER : 16 H À 19 H 30
• MERCREDI LE 18 FÉVRIER (troisième mercredi du mois) à 19 h 30 CAFÉ-CONFÉRENCE sur l'apprentissage et l'organisation de l'ordinateur chez soi. Café et desserts.
• JEUDIS : FERMÉS
• LUNDI LE 23 FÉVRIER : 16 H À 20 H
• MERCREDI LE 25 FÉVRIER : 18 H À 20 H 30
  
• MERCREDI LE 25 FÉVRIER (quatrième mercredi du mois) à 16 h HOT-DOGS-JASETTE. Bienvenue à tous.
• JEUDIS : FERMÉS.
• Le cybercafé est ouvert tous les lundis et mercredis, de 16 h à 20 h, même durant les activités (café-conférence et hot-dogs-jasette).
  

Nous procédons à la modification des heures d'ouverture sur tous les sites Internet à mesure que nous le pouvons. C'est possible qu'il y ait des délais de publication selon les sites.

Pour les ateliers d'apprentissage de l'ordinateur et cybercafé

• Cotisation de membre individuelle : 10 $ par année.
• Session individuelle, 10 rencontres : 200 $.
• Session de groupe, 10 rencontres : 100 $.
• Session individuelle, 1 rencontre : 22 $.
• Session de groupe, 1 rencontre : 12 $.
• Cybercafé : 1 $ la demi-heure.
  

Ce qui sort de notre robinet à chaque matin quand on se brosse les dents, ça coute combien ?

Pour répondre à la question, j'ai seulement un mot à dire, Rien. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'eau n'a pas de prix. L'eau fait partie de la nature, vrai, pas vrai ? La nature elle n'appartient pas seulement aux humains, mais aussi aux animaux. Alors, pourquoi faudrait-il absolument vendre cette eau gratuite et accessible à tous ? Ce n'est pas comme si on la donnait à des gens qui en ont pas du tout, on la vend à de ridicule prix à des multinationales qui revendent l'eau plus cher que le gaz à des gens qui n'ont seulement qu'à se rendent aux toilettes et boire dans le bol s'ils ont si soif que ça!

Je crois qu'il y aurait un meilleur moyen pour rendre l'eau rentable, juste et équitable. Premièrement, arrêté de vendre notre eau à des entreprises étrangères, se concentrer sur le Québec. Alors, où je veux en venir, nous devrions autoriser la vente de l'eau au Québec que par une seule entreprise québécoise et gouvernementale, d'une tel façon que, tous les profits iront dans les poches de tous les québécois et québécoise!

Deuxièmement, limiter l'eau gratuite. Pourquoi les gens arrosent encore leur gazon d'une façon abusive, pourquoi les gens arrosent encore leur asphalte pour aucune raison valable, pourquoi les gens s'entêtent-ils encore à laver leur voiture avec un boyau d'arrosage au lieu d'un seaux et d'une guenilles ? Pour la simple et bonne raison que pour eux l'eau n'a aucune signification, pour eux, l'eau n'a aucune limite, elle est Gratuite! La solution que je propose est la suivante; nous devrions instaurer un système qui autoriserait un minimum d'eau gratuite par maison. Bien entendu, le nombre de litres dépendrait du nombre de personnes habitant la maison et de leur âge. Donc tout va comme suit, nous pourrions faire faire une étude démontrant combien de litre d'eau une famille à besoin normalement durant une semaine sans les abus et ensuite l'appliquer. De la même manière qu'Hydro-Québec nous pourrions avoir un conteur d'eau dans la maison pour savoir à combien de litre nous sommes rendus et si on dépasse, on paye! Ce n'est pas plus compliqué que ça. En plus, nous pourrions redonner l'argent fait aux municipalités qui pourraient améliorer leur système d'aqueduc. Normalement, si nous prenons ces mesures, nous devrions voir une baisse monstrueuse de gaspillage d'eau en arrosage de terrain...

Je vous vois déjà venir; qu'est-ce que tu en fais des gardes-partager? Et bien, je ne me casse pas trop la tête avec ça, si une famille à un enfant de plus une semaine sur deux et bien une semaine sur deux le minimum gratuit augmente. Si la semaine ou le jeune en question devait venir retarde d'une autre semaine, l'eau autorité gratuitement non utilisé la semaine précédente serait ajouté la semaine suivante.

-Anaïs Pelletier
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